DISSOCIATION ET ABUS SEXUELS

 

Il me semble nécessaire de faire un petit point sur un aspect souvent tabou mais pourtant utile à évoquer.

C’est un sujet délicat et grave.

Nombre de femmes, et d’hommes, ont été abusé sexuellement par le passé.

 

Comme pour les traumatismes de la vie, quand un événement aussi difficile survient, la conscience opère ce que la psychologie a nommé une dissociation.

Il s’agit alors d’un réflexe de survie pour permettre à l’individu de surmonter la violence du traumatisme. Alors bien souvent, on oublie, parce qu’oublier l’horreur de ce qui a été vécu et le seul moyen d’essayer de continuer à vivre.

 

Vous trouverez d’ailleurs un peu plus de détails sur tout ces mécanismes de l’âme ici :

 

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Ce n’est que plusieurs années après, que ces mémoires endormies se réveillent, par le biais de flash, de détails qui reviennent à la mémoire. Ces mémoires latentes, bien qu’endormies toutes ces années, n’ont pourtant jamais cessé d’agir défavorablement dans la vie de la personne qui a vécu ce traumatisme.

 

Tant que ces mémoires ne sont pas libérées, les conséquences du traumatisme continuent de gâcher la vie de l’individu, par des conditionnements, des fausses croyances, des programmes inconscients, des addictions, des comportements souffrants.

 

Se souvenir ne suffit souvent pas non plus. Et pour cause, il est question d’intensité énergétique.

Si la violence de l’événement n’est pas compensée par une intensité, une puissance énergétique équivalente dans le sens contraire, il y a fort à parier que les désagréments continueront.

 

Si par exemple sur une échelle énergétique abstraite, le traumatisme a été de 100, et que par la suite toutes les bonnes dispositions de l’individu à s’en défaire est de 20 ou 30, les racines de souffrances resteront présentes et continueront d’engendrer des conséquences fâcheuses.

 

Raison pour laquelle une session de libérations énergétiques de ces mémoires peut grandement aider à enfin trouver plus de paix.